Jamet - Kervran - Le Bras - Bleuzen
la nouvelle clôture en rondins de bois
Voilà donc la nouvelle clôture qui remplace les peupliers et la haie qui poussaient là il y a quelques semaines encore. Le travail a été bien fait par l'entreprise voisine "Jardins et Services" de Christian Le Goff.
Quand le printemps sera revenu, la verdure et les fleurs pousseront au pied de cette clôture, ce qui "recouvrira" au mieux les ajouts de ciment que l'on voit ici. De même, j'ai acheté un paquet de "graines et fleurs sauvages" que je répandrai sur ces plaques de petit béton que je recouvrirai au préalable de terre spéciale pour que lesdites graines y trouvent de qui se nourrir et surtout fleurir.
Quand le printemps sera revenu, la verdure et les fleurs pousseront au pied de cette clôture, ce qui "recouvrira" au mieux les ajouts de ciment que l'on voit ici. De même, j'ai acheté un paquet de "graines et fleurs sauvages" que je répandrai sur ces plaques de petit béton que je recouvrirai au préalable de terre spéciale pour que lesdites graines y trouvent de qui se nourrir et surtout fleurir.
mon premier poste d'instituteur
Eh bien, ce fut la classe unique de l'école publique de Pleugriffet, département du Morbihan, entre Rohan et Josselin. Mon premier poste, à la sortie de l'Ecole Normale d'Instituteurs de Vannes, je l'ai rejoint à la rentrée scolaire de septembre 1972.
Dans cette école à une seule classe donc, il y avait 8 élèves seulement et, chose extraordinaire, ces 8 petits bouts de chou portaient toutes et tous le même nom de famille: HIVERT. Il s'agissait de 4 enfants d'un frère mécanicien et de 4 enfants d'un autre frère agriculteur. Et même qu'après les vacances de pâques, un 9ème élève, HIVERT également, est venu se joindre à nous; il s'agissait d'une petite fille, soeur d'un des groupes de 4, mais j'ai oublié lequel...Si bien que je me suis retrouvé avec 9 élèves du même nom au printemps 1973!
L'on peut dire que les parents étaient des Laïcs au-dessus de tout soupçon! Par contre, il y avait hélas, si je puis dire, 6 classes à l'école catholique de Pleugriffet. C'est dire si les conditions de "vie" pour nous le public n'étaient pas favorables! N'empêche que j'ai tout de même réussi à nous faire aller en classe de mer durant une bonne semaine me semble-t-il, dans les locaux de la colo de la SNCF à Quiberon.
Il y avait un logement de fonction dans l'école de Pleugriffet, logement que j'occupais en semaine durant les jours de classe, avant l'énorme joie de revenir à Roudouallec en fin de semaine. Mais il y avait beaucoup et beaucoup à redire, côté "salubrité" dudit logement...
Je n'ai plus jamais eu de nouvelles de mes petits élèves. Les circonstances de la vie ont fait que mon chemin s'est éloigné de cette école. Je dois dire que je n'ai rien fait non plus pour en avoir.
Mais de tout mon coeur, j'espère que mes petits élèves vont bien, et qu'ils sont le plus heureux possible dans leurs vies quotidiennes.
Dans cette école à une seule classe donc, il y avait 8 élèves seulement et, chose extraordinaire, ces 8 petits bouts de chou portaient toutes et tous le même nom de famille: HIVERT. Il s'agissait de 4 enfants d'un frère mécanicien et de 4 enfants d'un autre frère agriculteur. Et même qu'après les vacances de pâques, un 9ème élève, HIVERT également, est venu se joindre à nous; il s'agissait d'une petite fille, soeur d'un des groupes de 4, mais j'ai oublié lequel...Si bien que je me suis retrouvé avec 9 élèves du même nom au printemps 1973!
L'on peut dire que les parents étaient des Laïcs au-dessus de tout soupçon! Par contre, il y avait hélas, si je puis dire, 6 classes à l'école catholique de Pleugriffet. C'est dire si les conditions de "vie" pour nous le public n'étaient pas favorables! N'empêche que j'ai tout de même réussi à nous faire aller en classe de mer durant une bonne semaine me semble-t-il, dans les locaux de la colo de la SNCF à Quiberon.
Il y avait un logement de fonction dans l'école de Pleugriffet, logement que j'occupais en semaine durant les jours de classe, avant l'énorme joie de revenir à Roudouallec en fin de semaine. Mais il y avait beaucoup et beaucoup à redire, côté "salubrité" dudit logement...
Je n'ai plus jamais eu de nouvelles de mes petits élèves. Les circonstances de la vie ont fait que mon chemin s'est éloigné de cette école. Je dois dire que je n'ai rien fait non plus pour en avoir.
Mais de tout mon coeur, j'espère que mes petits élèves vont bien, et qu'ils sont le plus heureux possible dans leurs vies quotidiennes.
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incroyable ! édith m'a retrouvé ! ! !
>>>> édith, en janvier 2009... |
Le 2 février 2007, je publiais sur ce blog un article de coeur, oui! un article de coeur! J'insiste sur ce mot. Un article dans lequel je relatais des souvenirs de mon premier poste d'instituteur. Du reste, vous pouvez revoir cet article ici même.
Eh bien, dans les derniers jours du mois de février 2008, c'est-à-dire 7 mois après, je trouve dans ma boîte à lettres e-mail un message de ............ Édith!!!! Ma petite élève Édith Hivert de Pleugriffet... Oh, si vous saviez combien grande a été mon émotion à ce moment-là! Tant de souvenirs, comme ça, brusquement. Une chance sur 1 million pour que ça arrive! Tant d'émotion en pleine figure!!! En plein coeur, surtout!
Voici quelques extraits de l'un des messages qu'Édith m'a envoyé:
Très cher Monsieur Bleuzen...
maître...
ou monsieur Jacques...
je ne sais plus comment on vous appelait.
J'ai tellement de choses à vous dire! J'espère ne pas être confuse, histoire de prouver que vous nous avez bien enseigné l'écrit...
Nous avons appris l'existence de votre blog hier soir; et je peux vous dire qu'il y a eu de l'émotion à la pelle à la maison! Incroyable, mais vrai! Notre instituteur se souvient de ces premiers élèves!!!
Je suis installée en Normandie où je dirige un foyer-logement pour personnes âgées, un monde que j'affectionne plus particulièrement. Notre papa est décédé en 1993, et aurait été immensément heureux de lire votre écrit sur l'école! Lui qui a permis son ouverture, après une prise de "bec" avec les "soeurs". C'est vrai, il était très laïque! Et à la première occasion, il n'a pas hésité à tout mettre en oeuvre pour que ses enfants et neveux bénéficient d'une éducation laïque. Il nous a transmis cet état d'esprit que j'ai moi-même transmis à mes enfants. Grace à lui, cette école a pu voir le jour, car il a réussi à réunir l'effectif nécessaire, réduit quand même.
Ma maman, vivant toujours à Pleugriffet, a ce souvenir: comme vous faisiez à manger à midi et que nos cousins habitaient trop loin pour rentrer le midi chez eux, vous leur prépariez leur déjeuner. Vous souvenez-vous qu'ils boudaient parfois... parce qu'il y avait trop souvent des pâtes au menu!!!
Permettez-moi de vous embrasser très fort. Et encore merci ! Pourvu qu'il n'y ait pas trop de fautes d'orthographe...
la petite Édith.
......................................................................
Voilà, chers internautes. Croyez-moi, j'ai envie de repleurer de joie de ces retrouvailles. Jamais encore dans ma carrière d'instituteur, on ne m'avait dit MERCI avec autant de coeur.
J'espère te revoir vite, ma chère Édith, et tous les autres.
Eh bien, dans les derniers jours du mois de février 2008, c'est-à-dire 7 mois après, je trouve dans ma boîte à lettres e-mail un message de ............ Édith!!!! Ma petite élève Édith Hivert de Pleugriffet... Oh, si vous saviez combien grande a été mon émotion à ce moment-là! Tant de souvenirs, comme ça, brusquement. Une chance sur 1 million pour que ça arrive! Tant d'émotion en pleine figure!!! En plein coeur, surtout!
Voici quelques extraits de l'un des messages qu'Édith m'a envoyé:
Très cher Monsieur Bleuzen...
maître...
ou monsieur Jacques...
je ne sais plus comment on vous appelait.
J'ai tellement de choses à vous dire! J'espère ne pas être confuse, histoire de prouver que vous nous avez bien enseigné l'écrit...
Nous avons appris l'existence de votre blog hier soir; et je peux vous dire qu'il y a eu de l'émotion à la pelle à la maison! Incroyable, mais vrai! Notre instituteur se souvient de ces premiers élèves!!!
Je suis installée en Normandie où je dirige un foyer-logement pour personnes âgées, un monde que j'affectionne plus particulièrement. Notre papa est décédé en 1993, et aurait été immensément heureux de lire votre écrit sur l'école! Lui qui a permis son ouverture, après une prise de "bec" avec les "soeurs". C'est vrai, il était très laïque! Et à la première occasion, il n'a pas hésité à tout mettre en oeuvre pour que ses enfants et neveux bénéficient d'une éducation laïque. Il nous a transmis cet état d'esprit que j'ai moi-même transmis à mes enfants. Grace à lui, cette école a pu voir le jour, car il a réussi à réunir l'effectif nécessaire, réduit quand même.
Ma maman, vivant toujours à Pleugriffet, a ce souvenir: comme vous faisiez à manger à midi et que nos cousins habitaient trop loin pour rentrer le midi chez eux, vous leur prépariez leur déjeuner. Vous souvenez-vous qu'ils boudaient parfois... parce qu'il y avait trop souvent des pâtes au menu!!!
Permettez-moi de vous embrasser très fort. Et encore merci ! Pourvu qu'il n'y ait pas trop de fautes d'orthographe...
la petite Édith.
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Voilà, chers internautes. Croyez-moi, j'ai envie de repleurer de joie de ces retrouvailles. Jamais encore dans ma carrière d'instituteur, on ne m'avait dit MERCI avec autant de coeur.
J'espère te revoir vite, ma chère Édith, et tous les autres.
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padam . . . padam . . .
C'est mon frère Robert qui m'a familiarisé avec les chansons, françaises bien entendu(es)! Celles des années 40 et surtout des années 50. Robert jouait de la trompette, et il en jouait bien. Dans ses bagages, il avait constamment des petits formats, c'est-à-dire des partitions en papier, comme deux feuilles de journal sur lesquelles on trouvait les portées avec les notes de musique, ainsi que les paroles de la chanson. On pouvait aussi admirer des petites photos ou dessins des visages des interprètes desdites chansons.
A cette époque, il était courant que plusieurs chanteurs et chanteuses chantent la même chanson, par exemple Rina Ketty et Tino Rossi avec ce grand succès "j'attendrai"... On pourrait multiplier les exemples!
Le premier visage qui a retenu mon attention, c'est celui de Marie-José. Robert, futé, me laissait fouiller parmi ses nombreuses partitions, sachant très bien que je serai vite contaminé... Robert possédait également un tourne-disque Teppaz, qu'il connectait au poste de radio de notre père lorsqu'il venait en vacances à la maison à Roudouallec. Et moi, je passais et repassais inlassablement tous ses disques 78 tours, en particulier Édith Piaf qui chantait "padam padam"; et aussi Jacques Hélian et son orchestre qui jouaient "ma petite rime".
Robert prêtait facilement ses disques (hélas, car beaucoup ne sont jamais revenus!) à ses nompbreux amis et amies, et également à Monsieur Stéphant, le projectionniste des films de fins de semaine dans le cinéma laïc situé alors juste derrière la Mairie, et qu'il passait durant les entractes.
Robert adorait pousser la chansonnette lors des noces, banquets et fêtes locales salle Bordier, soit en solo, ou secondé par telle ou telle jeune fille de notre commune. N'oublions pas non plus que nos parents avaient ouvert une salle de danse dans les années 30, et que nous avions aussi un piano mécanique! Papa avait aussi, dans les années 50, fait l'acquisition d'un poste de radio, qu'il avait fait installer sur une petite étagère, dans la cuisine.
Dans ces conditions heureuses, il est normal que je me sois si vite amouraché de toutes ces si belles chansons françaises qualifiées de rétro aujourd'hui... ( à suivre...)
A cette époque, il était courant que plusieurs chanteurs et chanteuses chantent la même chanson, par exemple Rina Ketty et Tino Rossi avec ce grand succès "j'attendrai"... On pourrait multiplier les exemples!
Le premier visage qui a retenu mon attention, c'est celui de Marie-José. Robert, futé, me laissait fouiller parmi ses nombreuses partitions, sachant très bien que je serai vite contaminé... Robert possédait également un tourne-disque Teppaz, qu'il connectait au poste de radio de notre père lorsqu'il venait en vacances à la maison à Roudouallec. Et moi, je passais et repassais inlassablement tous ses disques 78 tours, en particulier Édith Piaf qui chantait "padam padam"; et aussi Jacques Hélian et son orchestre qui jouaient "ma petite rime".
Robert prêtait facilement ses disques (hélas, car beaucoup ne sont jamais revenus!) à ses nompbreux amis et amies, et également à Monsieur Stéphant, le projectionniste des films de fins de semaine dans le cinéma laïc situé alors juste derrière la Mairie, et qu'il passait durant les entractes.
Robert adorait pousser la chansonnette lors des noces, banquets et fêtes locales salle Bordier, soit en solo, ou secondé par telle ou telle jeune fille de notre commune. N'oublions pas non plus que nos parents avaient ouvert une salle de danse dans les années 30, et que nous avions aussi un piano mécanique! Papa avait aussi, dans les années 50, fait l'acquisition d'un poste de radio, qu'il avait fait installer sur une petite étagère, dans la cuisine.
Dans ces conditions heureuses, il est normal que je me sois si vite amouraché de toutes ces si belles chansons françaises qualifiées de rétro aujourd'hui... ( à suivre...)
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sur le vieux phonographe . . .
J'aime, et le verbe est faible, les chansons françaises anciennes, rétro; c'est-à-dire celles qui datent du début de l'époque des enregistrements sur cylindres, puis sur disques en cire 78 tours minute. Sont venus ensuite les 45 tours, 33 tours, et aussi les 16 tours, oui, en vinyle noir . Sans oublier non plus les cassettes audio... A présent, c'est le reigne des CD et des MP3.
Je possède un électrophone sur lequel il est possible d'écouter des disques 78 tours. Mais se posent aujourd'hui plusieurs questions:
la conservation de ces vieux disques dans la durée du temps qui passe, le matériel pour les écouter, la facilité aussi de les écouter, etc...
Je puis dire que moi, j'ai de la chance d'avoir trouvé LA solution! Que ce soit à partir des disques en cire 78 tours, des cassettes et des autres disques en vinyle. Grâce à ma bonne vieille chaîne stéréo (1975) et un mince et long câble (un fil, plutôt...) adéquat certes, je puis enregistrer et graver ces vieilles chansons sur CD. Pour ce faire, il est nécessaire de posséder un ordinateur, avec 1 ou 2 bon logiciels faits pour ça!
Je suis très content d'avoir pu, non sans peines, au pluriel, réussir à maîtriser cette technique de graver des vieilles chansons pratiquement directement sur CD.
A quoi ça sert? me direz-vous peut-être. Oh, à prolonger la vie de ces bonnes chansons d'autrefois; à avoir des facilités nouvelles de pouvoir les écouter. Pour moi, c'est un vrai régal des oreilles et du coeur .
Je possède, sans me vanter pour autant, une énorme discothèque, très fournie de nombreux disques 78 tours, 45 tours et 33 tours. Et bien sûr des CD! Car heureusement, quelques grandes maisons de disques ont re-gravé sur CDs une multitude de vieilles chansons comme je les aime. On en trouve à acheter dans les magasins, et aussi et surtout sur des sites "internet" dits spécialisés.
Je trouve que les jeunes chanteuses et chanteurs actuels sont d'une nullité affligeante!Eh bien, si c'est ça la "nouvelle" chanson française,
moi je préfère écouter les bons succès d'autrefois, en attendant que des jeunes fruits verts mûrissent...
Je possède un électrophone sur lequel il est possible d'écouter des disques 78 tours. Mais se posent aujourd'hui plusieurs questions:
la conservation de ces vieux disques dans la durée du temps qui passe, le matériel pour les écouter, la facilité aussi de les écouter, etc...
Je puis dire que moi, j'ai de la chance d'avoir trouvé LA solution! Que ce soit à partir des disques en cire 78 tours, des cassettes et des autres disques en vinyle. Grâce à ma bonne vieille chaîne stéréo (1975) et un mince et long câble (un fil, plutôt...) adéquat certes, je puis enregistrer et graver ces vieilles chansons sur CD. Pour ce faire, il est nécessaire de posséder un ordinateur, avec 1 ou 2 bon logiciels faits pour ça!
Je suis très content d'avoir pu, non sans peines, au pluriel, réussir à maîtriser cette technique de graver des vieilles chansons pratiquement directement sur CD.
A quoi ça sert? me direz-vous peut-être. Oh, à prolonger la vie de ces bonnes chansons d'autrefois; à avoir des facilités nouvelles de pouvoir les écouter. Pour moi, c'est un vrai régal des oreilles et du coeur .
Je possède, sans me vanter pour autant, une énorme discothèque, très fournie de nombreux disques 78 tours, 45 tours et 33 tours. Et bien sûr des CD! Car heureusement, quelques grandes maisons de disques ont re-gravé sur CDs une multitude de vieilles chansons comme je les aime. On en trouve à acheter dans les magasins, et aussi et surtout sur des sites "internet" dits spécialisés.
Je trouve que les jeunes chanteuses et chanteurs actuels sont d'une nullité affligeante!Eh bien, si c'est ça la "nouvelle" chanson française,
moi je préfère écouter les bons succès d'autrefois, en attendant que des jeunes fruits verts mûrissent...
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alors monsieur jacques ca poussent les nouvelles plantes c est beau un jardin fleuri. j ai pique un rosier sur tige un laurier rose un hortensia il m a l air un peu minable c est pas evident d habiter en hauteur l on voit le clocher de la commune qui se trouve a 5 kms y a beaucoup de vent voila l inconvenient. c est mieux etre un peu abrite
vous avez bien raison de semer des fleurs des qui tapissent le sol c est plus joli que ces sales peupliers caducs leurs feuilles noires en decomposition il y en a partout jusque dans les gouttieres. des petits plants le long de la cloture feront l affaire
les grands arbres dans un petit terrain c est pas beau. laissons les dans les grands champs . beaucoup de gens qui ont ont mis des haies tels les thuyas sapins les arraches avec leurs souches. et mettent un beau grillage vert qui va bien aussi avec la nature chez moi j ai qeulques coniferes de rocailles et une petite haie de laurier
. un coin jardin potager bonne journee