Jamet - Kervran - Le Bras - Bleuzen
bébé aime bien la neige
Lorsqu'il pleut, Bébé ne sort pas; elle se pose sur un coussin et regarde la pluie tomber. Par contre, la neige ne lui fait pas peur! On voit même qu'elle prend un plaisir certain à sentir ses pattes s'enfoncer quelque peu dans la poudreuse...
Ces photos ont été prises le mardi 3 février 2009, jour où il a neigé!
Ces photos ont été prises le mardi 3 février 2009, jour où il a neigé!
bébé dans le jardin
Ma petite chatte Bébé me suit partout, même lorsque je commence une promenade pédestre...
Ici, elle se repose à l'ombre d'une petite haie pendant que je lis un livre; dès que je quitte le transat, elle s'y installe! Ou bien elle se roule, se tourne et se retourne dans l'herbe, ce qui est un signe de "joie de vivre" pour elle, au moins.
Ces photos ont été prises le 25 avril 2009.
Ici, elle se repose à l'ombre d'une petite haie pendant que je lis un livre; dès que je quitte le transat, elle s'y installe! Ou bien elle se roule, se tourne et se retourne dans l'herbe, ce qui est un signe de "joie de vivre" pour elle, au moins.
Ces photos ont été prises le 25 avril 2009.
une chatte heureuse
Hier, alors que je me trouvais à la clinique vétérinaire de Chateauneuf-du-Faou (29) où Bébé devait se faire vacciner, j'ai demandé au jeune docteur ce que voulait dire une chatte qui se tourne et se retourne sur le ventre, sur le dos, sur les côtés... et quand elle a fini, elle recommence... le docteur m'a répondu que cela voulait dire que la chatte se sentait bien là où elle se trouvait, qu'elle était tout simplement heureuse, et que la sienne faisait ça aussi! Eh bien cela m'a fait bien plaisir d'entendre ça de la bouche d'un professionnel.
Ma chatte Bébé est donc heureuse chez moi, et cela me fait chaud au coeur.
(photos: début Mai 2009)
Ma chatte Bébé est donc heureuse chez moi, et cela me fait chaud au coeur.
(photos: début Mai 2009)
le coq et les poules
Les photos ont été prises mardi 5 mai 2009.
J'ai toujours aimé les poules et les coqs, et les autres volailles, car je leur trouve un air "gentil" et affectueux. Chez moi, les poules ne finissent jamais dans le four ou comme rôti: elles pondent des oeufs si elles veulent bien; et lorsqu'elles ne pondent plus, eh bien, disons qu'elles finissent leurs jours tranquillement dans la basse-cour.
Même chose pour le coq. C'est simplement pour le plaisir du coeur et des yeux. La seule chose que je puisse dire: c'est qu'il m'arrive d'acheter au marché 2 ou 3 poulets à engraisser pour l'hiver, et aussi des dindes, et de les tuer le moment venu.
Enfin, lorsqu'une volaille meure, je ne la jette pas sur le tas de fumier ou à la poubelle; je l'enterre au fond du jardin.
J'ai toujours aimé les poules et les coqs, et les autres volailles, car je leur trouve un air "gentil" et affectueux. Chez moi, les poules ne finissent jamais dans le four ou comme rôti: elles pondent des oeufs si elles veulent bien; et lorsqu'elles ne pondent plus, eh bien, disons qu'elles finissent leurs jours tranquillement dans la basse-cour.
Même chose pour le coq. C'est simplement pour le plaisir du coeur et des yeux. La seule chose que je puisse dire: c'est qu'il m'arrive d'acheter au marché 2 ou 3 poulets à engraisser pour l'hiver, et aussi des dindes, et de les tuer le moment venu.
Enfin, lorsqu'une volaille meure, je ne la jette pas sur le tas de fumier ou à la poubelle; je l'enterre au fond du jardin.
les délicieuses "reine-claude" de mon prunier
photos prises dimanche 8 juillet 2007, vers 19heures. |
Il y aura bientôt dix années, mon frère Pierre, de Larmor Plage, m'avait offert deux arbutres pruniers "Reine-Claude" qui avaient pris involontairement racine dans son jardin.
Explications:
Pierre possède, au fond de son jardin, quelques arbres fruitiers prolifiques, eu égard au climat doux de la côte lorientaise et à la bonne terre du village de Kerhoas, où se trouve la maison de mon frère et de ma belle-soeur. Toute leur famille se régale avec ces prunes Reine-Claude ! Il y en a tellement, qu'à chaque fois que nous nous rencontrons, selon l'époque de la récolte des fruits, ils m'en offrent
en grande quantité.
Un beau jour, Pierre m'a proposé de prendre deux petits arbres, enfants de cet arbre si généreux: quelques prunes avaient été oubliées par les oiseaux et en avaient profité pour croître tranquillement... J'ai accepté, bien sûr, bien que sceptique quant à la réussite de la vie de tels arbres à fruits à noyau dans notre région du centre de la Bretagne. Mais qu'avais-je à y perdre?
Bien m'en a pris ! Car cet été 2007, notre bonne Terre de Roudouallec a fait que les pruniers ont bien fleuri... et actuellement (juillet 2007), les branches du principal prunier (photo) croûlent littéralement sous le poids des Reine-Claude. Encore vertes, certes, mais qui, dans quelques jours, deviendront à n'en point douter de véritables délices du palais. Je m'en lèche les babines à l'avance !
.................................................................
Eh bien, c'est terminé !
Depuis ce lundi matin 13 août 2007, il n'y a plus la moindre prune Reine-Claude dans le prunier. Comme dessert aujourd'hui, je mangerai les dernières. Je les savourerai.
Et puis il faudra bien attendre la prochaine saison, en espérant que les deux pruniers en produiront autant que cette année 2007.
Toujours est-il que ces Reine-Claude ont été dé-li-cieu-ses.
Elles n'ont été "modifiées" par aucun engrais chimique, aucun insecticide; en un mot, elles étaient des prunes bio.
Je remercie Dame Nature de m'avoir permis
de savourer ainsi ses petits trésors.
Explications:
Pierre possède, au fond de son jardin, quelques arbres fruitiers prolifiques, eu égard au climat doux de la côte lorientaise et à la bonne terre du village de Kerhoas, où se trouve la maison de mon frère et de ma belle-soeur. Toute leur famille se régale avec ces prunes Reine-Claude ! Il y en a tellement, qu'à chaque fois que nous nous rencontrons, selon l'époque de la récolte des fruits, ils m'en offrent
en grande quantité.
Un beau jour, Pierre m'a proposé de prendre deux petits arbres, enfants de cet arbre si généreux: quelques prunes avaient été oubliées par les oiseaux et en avaient profité pour croître tranquillement... J'ai accepté, bien sûr, bien que sceptique quant à la réussite de la vie de tels arbres à fruits à noyau dans notre région du centre de la Bretagne. Mais qu'avais-je à y perdre?
Bien m'en a pris ! Car cet été 2007, notre bonne Terre de Roudouallec a fait que les pruniers ont bien fleuri... et actuellement (juillet 2007), les branches du principal prunier (photo) croûlent littéralement sous le poids des Reine-Claude. Encore vertes, certes, mais qui, dans quelques jours, deviendront à n'en point douter de véritables délices du palais. Je m'en lèche les babines à l'avance !
.................................................................
Eh bien, c'est terminé !
Depuis ce lundi matin 13 août 2007, il n'y a plus la moindre prune Reine-Claude dans le prunier. Comme dessert aujourd'hui, je mangerai les dernières. Je les savourerai.
Et puis il faudra bien attendre la prochaine saison, en espérant que les deux pruniers en produiront autant que cette année 2007.
Toujours est-il que ces Reine-Claude ont été dé-li-cieu-ses.
Elles n'ont été "modifiées" par aucun engrais chimique, aucun insecticide; en un mot, elles étaient des prunes bio.
Je remercie Dame Nature de m'avoir permis
de savourer ainsi ses petits trésors.
Lire les commentaires textes
On dit que les animaux, se brulent les pattes avec la neige,je
ne sais pas si c'est la vérité!
Mon chien,j'ai un épagneul breton, il se forment des boules sur
ses poils!pour les chats c'est peut être pareil!