Jamet - Kervran - Le Bras - Bleuzen
le 15ème anniversaire de la mort de Tante Marie.
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Tante Marie est morte le 17 avril 1995 et a été enterrée au Cimetière du Tillay à Saint-Herblain, juste à côté de Nantes. Son mari, Tonton Jean Cozic, repose au cimetière de Guiscriff (car originaire de là-bas) depuis plus de 50 ans. Ma cousine Jeannine et son époux Jeannot, qui habitent St-Herblain (près du Boulevard du Massacre, de Nantes) ont choisi de garder Tante Marie près d'eux, et je les comprends très bien, d'autant plus que le cimetière du Tillay n'est pas loin
de chez eux (avenue Florian).
Pour cette date du 15ème anniversaire de la mort de ma chère Tante Marie, le Samedi 17 Avril 2010, j'ai voulu être PHYSIQUEMENT près d'elle et c'est pourquoi j'y suis allé en voiture. Je n'ai averti PERSONNE car je ne souhaitais pas être tributaire d'horaires et autres contraintes. Je voulais être libre de mes déplacements, de mes horaires, libre tout simplement, pour pouvoir rester seul,et aussi longtemps que je voulais, assis sur mon petit banc que j'avais apporté face à la tombe de Tante Marie.
J'ai déposé ma plante fleurie sur la tombe, j'ai pris quelques photos, dont certaines avec le déclencheur automatique (c'est pourquoi je suis sur des photos) et puis je suis resté dans mes songes et mes pensées... Au bout d'un peu plus d'une heure face à la tombe de Tante Marie, je me suis relevé et ai repris la route vers Roudouallec, l'esprit apaisé car j'avais fait exactement ce que j'avais prévu.
de chez eux (avenue Florian).
Pour cette date du 15ème anniversaire de la mort de ma chère Tante Marie, le Samedi 17 Avril 2010, j'ai voulu être PHYSIQUEMENT près d'elle et c'est pourquoi j'y suis allé en voiture. Je n'ai averti PERSONNE car je ne souhaitais pas être tributaire d'horaires et autres contraintes. Je voulais être libre de mes déplacements, de mes horaires, libre tout simplement, pour pouvoir rester seul,et aussi longtemps que je voulais, assis sur mon petit banc que j'avais apporté face à la tombe de Tante Marie.
J'ai déposé ma plante fleurie sur la tombe, j'ai pris quelques photos, dont certaines avec le déclencheur automatique (c'est pourquoi je suis sur des photos) et puis je suis resté dans mes songes et mes pensées... Au bout d'un peu plus d'une heure face à la tombe de Tante Marie, je me suis relevé et ai repris la route vers Roudouallec, l'esprit apaisé car j'avais fait exactement ce que j'avais prévu.
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Naïg 'N Dû et René Allain, de Kervennec...
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| le pen-ti où vivaient Naïg et sa famille. |
Kervennec est un village finistérien mais néanmoins tout proche de Roudouallec.
Pour y aller, c'est simple: il convient de prendre la route de Quimper, d'y faire 3 ou 4 kilomètres et de tourner à droite, dans cette route de campagne, bien entretenue, menant au village de Kervennec.
Là-bas vivaient, il n'y a pas bien longtemps encore (années 90), une cousine à mon père, Madame Anna (ou Anne?) Allain, mais que nous appelions Naïg 'N Dû, de son nom de jeune fille, en Breton; et l'un de ses 2 fils, René Allain, qui venait très très souvent à bicyclette "boire un verre" au bistrot de Maman et Papa,
à Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec. À chaque fois qu'il venait à la maison, René me disait: "Allez, Cousin, ça va bien?" Et il se roulait une cigarette...
René avait un frère, Jean, décédé en 2007 ou 2008, à l'enterrement de qui j'étais allé (à Leuhan). Jean était marié à Jeannette Salaün (toujours vivante à ce jour mercredi 7 juillet 2010). Je rencontre très très souvent l'un des enfants de
Jean et Jeannette dans une grande surface de Gourin,
Annie Allain-Cospérec (Langonnet)
avec qui je discute longuement à chaque rencontre. Du reste, j'ai eu les enfants d'Annie comme élèves dans ma classe, lorsque j'étais instituteur
à l'école publique de Langonnet.
Naïg était une cousine germaine aux Bleuzen (mon père, mes tantes et mes oncles). La mère de Naïg était une fille "Le Bras", de même que ma grand-mère paternelle dont le nom de jeune fille était Louise Le Bras. La mère de Naïg et ma grand-mère étaient donc soeurs. Naïg et Papa étaient cousins germains.
Il faut savoir aussi que notre famille Bleuzen avait les mêmes liens de parenté
avec les "Le Bras" de Chateauneuf-du-Faou (29): Mimi, Yves et Corentin.
Lesquels étaient donc aussi parents avec Naïg 'N Dû. Sans oublier Jos Bras (Joseph Le Bras), de "Poulude" (Poul Duot) en Leuhan (29), qui était le parrain de mon frère Jo de Spézet.
Naïg avait un frère: Renann 'Dû, que l'on surnommait gentiment "Nannik".
Il était célibataire (comme René) et exerçait le métier de commis de ferme. C'était un bon Chrétien, un "Croyant". Il vivait chez Naïg et son mari.
Je ne l'ai jamais connu.
Nous avons toujours eu et entretenu de très bons rapports les uns avec les autres. Si j'avais été plus mûr à cette époque-là, plus adulte, pour sûr que moi aussi je les aurais "fréquentés" bien plus!
Ma belle-soeur Anna m'a parlé d'une mésaventure avec un parapluie, dans la voiture, avec mon frère Marcel. Mais j'ai oublié les détails!!! Je vais y remédier
au plus vite.
Pour y aller, c'est simple: il convient de prendre la route de Quimper, d'y faire 3 ou 4 kilomètres et de tourner à droite, dans cette route de campagne, bien entretenue, menant au village de Kervennec.
Là-bas vivaient, il n'y a pas bien longtemps encore (années 90), une cousine à mon père, Madame Anna (ou Anne?) Allain, mais que nous appelions Naïg 'N Dû, de son nom de jeune fille, en Breton; et l'un de ses 2 fils, René Allain, qui venait très très souvent à bicyclette "boire un verre" au bistrot de Maman et Papa,
à Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec. À chaque fois qu'il venait à la maison, René me disait: "Allez, Cousin, ça va bien?" Et il se roulait une cigarette...
René avait un frère, Jean, décédé en 2007 ou 2008, à l'enterrement de qui j'étais allé (à Leuhan). Jean était marié à Jeannette Salaün (toujours vivante à ce jour mercredi 7 juillet 2010). Je rencontre très très souvent l'un des enfants de
Jean et Jeannette dans une grande surface de Gourin,
Annie Allain-Cospérec (Langonnet)
avec qui je discute longuement à chaque rencontre. Du reste, j'ai eu les enfants d'Annie comme élèves dans ma classe, lorsque j'étais instituteur
à l'école publique de Langonnet.
Naïg était une cousine germaine aux Bleuzen (mon père, mes tantes et mes oncles). La mère de Naïg était une fille "Le Bras", de même que ma grand-mère paternelle dont le nom de jeune fille était Louise Le Bras. La mère de Naïg et ma grand-mère étaient donc soeurs. Naïg et Papa étaient cousins germains.
Il faut savoir aussi que notre famille Bleuzen avait les mêmes liens de parenté
avec les "Le Bras" de Chateauneuf-du-Faou (29): Mimi, Yves et Corentin.
Lesquels étaient donc aussi parents avec Naïg 'N Dû. Sans oublier Jos Bras (Joseph Le Bras), de "Poulude" (Poul Duot) en Leuhan (29), qui était le parrain de mon frère Jo de Spézet.
Naïg avait un frère: Renann 'Dû, que l'on surnommait gentiment "Nannik".
Il était célibataire (comme René) et exerçait le métier de commis de ferme. C'était un bon Chrétien, un "Croyant". Il vivait chez Naïg et son mari.
Je ne l'ai jamais connu.
Nous avons toujours eu et entretenu de très bons rapports les uns avec les autres. Si j'avais été plus mûr à cette époque-là, plus adulte, pour sûr que moi aussi je les aurais "fréquentés" bien plus!
Ma belle-soeur Anna m'a parlé d'une mésaventure avec un parapluie, dans la voiture, avec mon frère Marcel. Mais j'ai oublié les détails!!! Je vais y remédier
au plus vite.
avant notre maison natale...
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À gauche de la photo en noir et blanc, on voit des arbres qui poussent ... à l'endroit où sera bâtie un peu plus tard notre maison familiale: le bistrot-salle de danse-forge "Chez Soaz et Jos"...
Actuellement le numéro 66 de la rue Nicolas Le Grand.
Mes parents se sont mariés le 1 Juillet 1923. La maison n'était pas encore construite; elle l'a été bien après. Cette photo a été prise à la fin de la guerre 1914-1918. Pour ce qui est de la photo couleur, elle a été prise par moi-même (Jacques Bleuzen) le mardi 7 avril 2009 dans l'après-midi.
Certains pen-ty ont disparu par rapport à la vieille photo; des maisons "neuves" ont été bâties aussi. La chaussée évidemment a bien changé elle aussi.
Pour moi, cette photo en noir et blanc
est très très chargée d'émotion.
Actuellement le numéro 66 de la rue Nicolas Le Grand.
Mes parents se sont mariés le 1 Juillet 1923. La maison n'était pas encore construite; elle l'a été bien après. Cette photo a été prise à la fin de la guerre 1914-1918. Pour ce qui est de la photo couleur, elle a été prise par moi-même (Jacques Bleuzen) le mardi 7 avril 2009 dans l'après-midi.
Certains pen-ty ont disparu par rapport à la vieille photo; des maisons "neuves" ont été bâties aussi. La chaussée évidemment a bien changé elle aussi.
Pour moi, cette photo en noir et blanc
est très très chargée d'émotion.
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la vie n est pas toujours gaie quand on aime on ne compte pas et d etre seul parfois l on a envie e voir d autres horizons de sortir se changer les idees ne pas rester entre quatre murs n arrange rien. vous vous occuper de votre jardin de vos gallinacees vous sortez garder le moral c est l essensiel d avoir la sante c est le principal
a plus josiane
j aurais ete vous je serais aller rendre une petite visite a votre chere cousine surtout en etant pas loin ca leur aurait fais plaisir de vous offrir un petit cafe quand meme
ce seras pour la prochaine fois le geste c est important d aller assez loin seul avec vos pensees. bonlundi . josiane
vous l aimiez bien vote tante pour aller se recueillir sur sa tombe qui n est pas la porte a cote quand meme. c est vrai que dans la vie on preferes certaines personnes de sa famille que d autres
. peut etre quand vous etiez petit enfant elle etait souvent pres de vous aussi
elle vous aimait beaucoup. a vous maintenant de lui rendre la pareille. bon courage a vous pour la continuation du blog josiane